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Une très bonne année 2019 à vous, du fond du cœur!

L'année qui vient de se terminer a été plutôt tranquille, avec 24 publications, mais je pense que ce sera la norme à partir de maintenant. J'ai pas mal ronronné sur mes évènements habituels mais il y a tout de même eu de bonnes surprises, comme un Global Endurance Legends très relevé au Mans Classic, les Ferrari SP38 et Monza, la 911 Singer et la Ruf CTR 2017 spottées dans les rues. La 335 S tant attendue est enfin apparue à la Villa d'Este. J'ai également apprécié la découverte du circuit de Monza et des FXXK Evo, et les livrées classiques des Porsche au Mans. Enfin, Grand Basel a fixé un nouveau standard très élevé pour l'exposition de voitures classiques. Une belle année somme toute!

En 2019, je serai aux rendez vous habituels bien sûr, dont Chantilly en juillet. J'ai l'intention aussi de voir le programme XX sur la Nordschleife en juillet. J'aimerais assez retourner à Monza et le Zoute Grand Prix m'intrigue pas mal. Toujours au nord, il va bien falloir que je m'organise pour visiter le Musée Louwman. J'aimerais faire au moins une course de 24 Heures, peut être Le Mans mais la course ne s'annonce pas très disputée. Coté supercars, j'essaierai de ne pas oublier le Supercars Owner Circle s'il retourne dans les Alpes. Et enfin, je prie pour une deuxième édition de Grand Basel!

Coté audiences, Arthomobiles a compté 152 000 pages vues en 2018, loin des meilleurs scores mais cela s'explique assez bien: moins de reportages, moins de présence sur les forums, moins de reach sur Facebook. Pour les pages, le guide de Maranello domine toujours, malgré une cruelle absence de mise à jour; devant Rétromobile comme d'habitude. Le Salon de Genève et la Vente Bonhams complètent le podium des évènements de l'année, ce qui tend à confirmer que plus les autos sont diversifiées, plus les reportages sont regardés (logique, puisque ça fait plus de mots clés pour Google). La page des châssis de 917 a bien cartonné aussi, avec pas moins de 2286 vues uniques.

Lors de l'année écoulée, j'ai parcouru 8000 kilomètres en voiture à travers trois pays pour mes reportages, ce qui est dans la norme. Toutefois, cela fait une éternité que je ne suis pas allé du coté de Spa ou du Nürburgring

Comme pratiquement chaque année, 2018 a débuté à Paris par le salon Rétromobile. Et comme chaque année, le salon m'a épaté par les raretés présentées, dont une très belle exposition Abarth.

       

La semaine parisienne est désormais traditionnellement animée par trois ventes aux enchères, dont celle de RM Sotheby's, qui offre le meilleur rapport quantité / qualité.

       

La vente Bonhams offre le meilleur cadre mais beaucoup de remplissage.

       

Et la vente Artcurial, toujours la plus frustrante avec ses lots magnifiques bien mal mis en valeur par l'espace étriqué de la Porte de Versailles. Hélas pour la maison française, la vente promise de la 275P victorieuse au Mans a été annulée au dernier moment.

       

Le Salon de Genève a tenu ses promesses avec le lever de rideau sur la 488 Pista, la McLaren Senna et d'autres nouveautés mais le plus important a peut être eu lieu en marge du salon, avec le spotting longtemps attendu de ma première 911 Singer et la présentation "clandestine" de l'Apollo Intenza Emozione.

       

Le Tour Auto Optic 2000 m'a fait le plaisir de passer très près de chez moi puisqu'il a carrément fait étape à Besançon, ce qui m'a permis d'en profiter sur deux jours, avec de beaux passages à Semur en Auxois et dans la vallée de la Loue.

       

Reportage multiforme ensuite puisque nous sommes partis en weekend en famille à Florence, avec un stop au Museo Ferrari de Modène. J'en profite pour vous faire visiter la capitale des Arts.

       

Le Concorso d'Eleganza de la Villa d'Este n'a pas déçu lui non, plus, avec un vendredi plutôt honnête

       

Et un duel au sommet le samedi entre la Ferrari 335 S tant attendue et une Alfa Romeo 33 Stradale, parmi bien d'autres merveilles

       

Et le dimanche a permis de finaliser quelques shootings et photos de mes préférées.

       

En juin, une LaFerrari est venue à la caserne des pompiers de Besançon pour un évènement caritatif

        

Pas de Groupe C cette année au Grand Prix de l'Age d'Or mais un beau spectacle quand même, avec une météo très changeante.

       

Je suis ensuite retournée aux 24 Heures du Mans pour assister enfin à la victoire de Toyota, et admirer les belles livrées historiques de Porsche en GT.

       

Au Château de Coppet, le Concours d'Elégance Suisse continue à se bonifier avec quelques très beaux modèles, dont des Ferrari inédites

       

Le Mans Classic est de retour, avec la très spectaculaire série des Global Endurance Legends. C'était fou!

       

Mais en particulier le samedi, comme d'habitude, j'ai l'impression d'avoir loupé la moitié de ce qu'il fallait voir

       

Grâce à une météo clémente, la nuit et le lever du jour ont tenu toutes leurs promesses en terme de magie

       

En septembre, un évènement surprise, Grand Basel, a enfin révolutionné l'exposition automobile, en présentant des merveilles dans des boites blanches parfaitement éclairées. Ce que les photographes espéraient depuis des années vient donc de se produire et tous les salons automobiles viennent de prendre un coup de vieux.

       

J'ai ensuite emmené le fiston au cinquantième anniversaire du Club Ferrari France à Dijon mais des obligations nous ont contraints à partir plus vite que je ne l'aurais aimé, hélas.

       

Au même endroit un mois plus tard, la Motors Cup m'a permis de retrouver les F1 de ma jeunesse, entre autres séries historiques.

       

La semaine suivante, toujours à Dijon, Rêves d'enfants malades a fêté sa huitième édition

       

Pour bien finir l'année, je me suis rendu pour la première fois à Monza pour les Ferrari Finali Mondiali, afin de voir en piste les FXXK Evo.

       

Le samedi, la météo a été parfois difficile, quoique sympathique pour les photos. Et j'ai enfin découvert les Monza SP1 et SP2

       

Le dimanche, le parking a tenu ses promesses et j'ai tenté le difficile spot de la Parabolica. Par contre, j'ai du partir avant le show qui commençait un peu tard malheureusement.

       

Pas de grands regrets concernant l'année écoulée. Ca m'a un peu embêté d'avoir zappé le Mondial de Paris, qui n'était pas si mal finalement, avec notamment la Divo, et d'avoir loupé le Supercars Owners Circle mais rien de majeur. Pas de grands espoirs non plus pour 2019, si ce n'est celui d'être accrédité à la Villa d'Este pour voir rouler la Modulo. A vrai dire j'attends surtout la concrétisation de la nouvelle réglementation du WEC. Beaucoup d'incertitudes mais aussi un gros potentiel si les marques qui produisent des hypercars se prennent au jeu. Mais au Mans, ce ne sera que pour 2021. 

Pour ce qui est du carnet noir, nous ont quitté en 2018: Dan Gurney (1931 - 2018), un monstre sacré, Gérard Welter (1942 - 2018), le père de nombreuses Peugeot mais surtout des WM, Marcel Martin (1929 - 2018), directeur de course des 24 Heures du Mans durant 20 ans, Max Cohen-Olivar (1945 - 2018), 20 fois au départ des 24 Heures; Don Panoz (1935 - 2018), Michel de Bourbon-Parme (1926 - 2018), pilote et Sergio Marchionne (1952 - 2018), président de Ferrari. Pour finir sur une note plus positive, on peut noter la survie miraculeuse de Sophia Flörsch lors de l'un des accidents les plus spectaculaires que j'aie vu, à Macao.

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