Un micro reportage cette semaine pour rappeler que la majorité des propriétaires de voitures de prestige sont des enthousiastes et n'hésitent pas à partager leur plaisir et leur passion de la marque. Et l'une des meilleures façon de le faire est de participer à des évènements caritatifs ayant pour but soit de récolter des fonds, comme Sport & Collection ou le Téléthon, soit d'offrir des moments mémorables à des enfants malades, comme Rêves d'enfants malades ou d'autres initiatives. C'est dans cette dernière catégorie qu'entre un petit évènement local organisé par le Rotary Club, l'Amicale des Sapeurs Pompiers et l'association Rêves, pour la septième année consécutive.

J'avoue que mon regard se porte souvent vers l'horizon des grands évènements internationaux et que de ce fait, j'ai tendance à rater tout ce qui est local. De fait, si je n'avais pas été interpellé sur une publication Facebook, j'aurais une nouvelle fois manqué celui ci. Le camp de base est situé à la caserne des pompiers, à moins d'un quart d'heure de chez moi et je vois qu'une LaFerrari est présente. J'avoue que sans ça, je ne me serais pas forcément déplacé mais là, c'est une raison suffisante. Je me renseigne un peu et apprends que les voitures font un tour jusqu'à Salins les Bains et redescendent pour 16h00 environ (merci Nicolas). A 15h45, je suis devant la caserne, éconduit par le vigile. Il faut montrer patte blanche pour entrer. Paradoxalement les évènements régionaux sont aussi ceux où il est le plus difficile d'entrer en tant que média. Bon, je spotte dehors.

Une demi-heure plus tard, le vigile semble avoir terminé sa mission, la journée touche à sa fin, j'en profite pour entrer shooter les voitures restantes.

Je m'aperçois bien vite que j'ai pris le 60D au lieu du 6D, dans ma précipitation.

Pour les enfants qui restent, les pompiers proposent des tours de cour en camion, sirènes hurlantes, ou de monter en haut de la grande échelle.

Mon entrée tardive me permet de me retrouver en tête à tête avec la LaFerrari, qui est plutôt bien placée.

Rapidement, je me retrouve à attendre simplement qu'elle s'en aille, pour la shooter en mouvement.

Le propriétaire s'installe à bord, je me remets à mon emplacement initial de l'autre coté de la rue. Dernier suspense, partira-t-il par sa gauche où je pourrai shooter l'arrière ou par sa droite où mon angle est bouché?

Ouf, gagné!

Voilà, c'était une petite page pour de beaux gestes qui méritaient d'être soulignés.

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