Cet été nous passons nos vacances à Sainte Maxime et j'ai négocié une visite d'une journée à Monaco, histoire de vérifier que c'est bien le nid a belles mécaniques que j'espère. Petite frayeur en arrivant: n'étant pas footeux pour deux sous, je n'étais pas au courant que nous débarquons sle jour de la finale de la super-coupe entre le FC Séville et le FC Barcelone. Du coup, il y a un nombre incroyable de supporters des deux équipes dans les rues qui attendent de rallier le stade. Pendant quelques minutes, le doute s'installe: les monégasques n'ont ils pas fui devant une telle marée Ibérique?

La concession attire pas mal de curieux évidemment. Une superbe Enzo jaune avec des jantes noires est en train d'être révisée.

Notre passage sur le port me rassure rapidement: en quelques mètres nous sommes dépassés par une 328, une F430 et nous tombons sur une Superamerica jaune en stationnement.

 Finalement, le temps de pose se trouvera juste un peu rallongé, en attendant que les Espagnols aient fini d'étaler leurs drapeaux sur les capots pour se faire prendre en photo.

Je passe une après midi sur un nuage à regarder tourner inlassablement les belles sur la place du casino.

Point d'orgue de la journée, les premières 599 GTB que j'aie vu, une rareté à l'été 2006 ou les voitures livrées ne devaient pas être légion.

Celle qui a rencontré le plus gros succès public est une Murcielago Roadster dont l'apparition provoque un mouvement de foule impressionnant.

Captivé par le ballet incessant, j'aurai abandonné une bonne partie de la journée sur un banc de la Principauté, à ma grande honte. A ma décharge, ce n'est pas tous les jours noël donc j'en ai profité autant que j'ai pu mais je sens depuis chez elle une réticence à m'accompagner dans ce genre de safari photo

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